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    Tu as failli partir sans que j’ai eu le temps

     de te dire combien mon amour était grand !

     Tous deux nous lutterons, bientôt tu guériras,

     de nouveau dans nos vies le soleil brillera...

     Je suis ta Valentine, et toi mon Valentin :

     au rythme de ton cœur je sens battre le mien.

     Nous avons devant nous toute l’éternité;

     Nous sortirons vainqueurs de cette adversité !

     Sans toi, je ne suis rien, tu es mon oxygène !

     Lorsque plus rien ne va, n’oublie pas que je t’aime !

     Ce poème est pour toi, j’ai préféré écrire

     ce que jamais, je crois, je n’ai osé te dire.

     

                                Gibulène - 14 février 2002

     

     

    Quand mon Valentin est parti, en Avril 2002, je ne lui avait toujours pas lu ce poème que je conservais précieusement pour le lui offrir lorsque nous fêterions sa guérison...........

     

     


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